"Les 100 lieux de la gastronomie" … un nouveau "Que sais-je ?" qui classe La Tupina parmi les 100 « trésors culinaires » mondiaux. Récemment paru sous la signature d’Alain Bauer et Laurent Plantier, cet ouvrage édité par les Presses Universitaires de France propose une promenade en gastronomie au travers ...... des meilleures tables du monde, auréolées d’étoiles. Exception au pays des plurimacaronés et des multitoqués, La Tupina figure en bonne place dans cette liste des 100 tops gastronomiques mondiaux, voisinant avec la mythique Tour d’Argent parisienne et le Palace d’Udaipur en Inde.
Si « l’auberge rabelaisienne bordelaise », y est distinguée pour sa table d’abondance, de truculence et de gourmandise, le maître des lieux Jean-Pierre Xiradakis sait autant se réjouir de figurer dans ce classement que rester circonspect sur la valeur qu’il convient d’attribuer à ces sélections.
Récemment, François Simon dans Le Figaro s’interrogeait – à l’occasion de la parution du classement des 50 meilleurs restaurants du monde - sur ces classements faisant souffler le chaud et le froid sur le monde de la gastronomie, leur véracité et leurs critères de jugement.
Et La Tupina qui a toujours bénéficié de distinctions internationales (classée parmi les 50 meilleurs restaurant du monde pendant 3 ans, sélectionnée parmi les 10 meilleurs restaurants mondiaux qui jouent avec le feu - En 1994, The International Herald Tribune la classe « Meilleur bistrot au monde » - The New York Times lui offre sa Une.
En 1995, La Tupina est élue « restaurant of the year » par Times magazine (UK), récemment, le magazine chinois Target signalait La Tupina comme étant « L’un des endroits les plus flatteurs pour les sens » - dans Le dictionnaire amoureux de la France de Denis Tillinac La Tupina est le seul restaurant cité) le sait bien, refusant de se prendre pour autant au sérieux.
"En aucun cas, précise Jean-Pierre Xiradakis, cela ne doit nous faire oublier que notre travail n’est jamais abouti, toujours en recherche du plaisir de nos clients et, pour ce qui nous concerne, sans suivre les girouettes de la mode culinaire. Ne croyez pas que c’est une solution de facilité. C’est exactement le contraire".
La rue gourmande de Bordeaux
La "rue gourmande" voit le jour malgré la crise, participant à la gentrification d'un quartier du périmètre Bordeaux Euratlantique. La création en 2011 de cette Rue gourmande est née des intuitions de Jean-Pierre Xiradakis, opérateur très actif de la gentrification du quartier Saint Michel.
Les adresses de la rue Gourmande à Bordeaux
La tupina au N° 6-8 de la Rue gourmande : Le produit en vedette… quelques célébrités en salle
Kuzina au N° 22 de la Rue gourmande : Kuzina …veut dire "cuisine" en grec
Bar-Cave au N° 34 de la Rue gourmande : Charcuterie, andouillette et ambiance de comptoir
Le Comestible au N° 3 de la Rue gourmande : … une épicerie de quartier
Café Tupina au N° 1 de la Rue gourmande : … la sentinelle d’entrée dans la Rue gourmande
La Maison Fredon au N° 7 de la Rue gourmande : … des chambres d’hôtes sur 3 étages
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