Ainsi commence, dans les années trente, la saga des Montazini, obligés de s’exiler dans le Sud-ouest de la France pour échapper à la haine d'un fasciste fanatique. Mais la distance entre l’Italie et leur nouveau refuge sera-t-elle suffisante ?
Natif du Gers, l'auteur Michel ZORDAN s’exile dès 16 ans, à Paris. En 1978, après une quinzaine d’années passées loin de ses racines, ses activités professionnelles le ramènent, avec son épouse et son fils dans le Sud-ouest de la France. Depuis 2004, et en moins de 5 années, Michel ZORDAN a écrit une dizaine de titres qu’il conserve bien au chaud dans un tiroir. Il ne les ressort que pour les peaufiner. Les Raisons de l’exil est le premier à être édité.
Tout au long de ces presque vingt années, la vie des Montazini n’est jamais simple. Le sort, le mauvais, mais aussi le bon, semble se complaire à jouer avec eux. Malgré ses déboires, la famille tient bon le cap et fait face. La ferme de L’Arcange, dans laquelle elle se retrouvera peu de temps après son arrivée en France, joue un rôle essentiel. Cette maison, au nom mythique, sera l’occasion pour Michel ZORDAN d’ouvrir de multiples parenthèses pour remonter dans un passé souvent tumultueux. Le destin ne peut toutefois pas s’acharner une vie durant. Derrière les gros nuages, le soleil n’attend souvent qu’une occasion pour briller à nouveau.

Michel ZORDAN écrit les 5 premiers tomes de cette saga entre 2004 et 2005. En quelques mois les grandes lignes, plus de 1500 pages sont tracées. Pendant les trois années qui suivent, l’auteur laisse son histoire dormir dans un tiroir. Il ne la réveille que pour apporter quelques petites retouches, du relief comme il dit. Fin 2007, ses proches l’incitent à tenter l’expérience de l’édition.
La série - Pour la série, Les Exilés de l’Arcange, Michel ZORDAN imagine une famille ordinaire, que le destin pointe un jour du doigt et entraine malgré elle dans une existence chaotique ou malheur et bonheur se conjuguent à tous les temps. Dans le tome 2, la réflexion du jeune héros, Sylvio, résume assez bien la situation : pour quelles raisons, un grand nombre de personnes vivaient-elles toute leur vie sans que rien de bien extraordinaire ne leur arrive jamais, ni en bien, ni en mal ? Elles naissent, et chaque jour défile comme le précédent jusqu’à leur mort. Alors que d’autres, par exemple celles de sa famille, sont poursuivies par un étrange destin. Destin qui apporte beaucoup de malheurs, mais aussi parfois, et il le reconnaissait, quelques ravissements.
En France, l’histoire commence en 1930, pour faire une pause, cinq tomes plus tard en 1947, au lendemain de la guerre. Dans ce récit parfois cruel, où se mêlent haine, fanatisme, manipulations et vengeance, une saine émotion, parfois même la drôlerie et l’espoir sont toujours palpables.
En France, l’histoire commence en 1930, pour faire une pause, cinq tomes plus tard en 1947, au lendemain de la guerre. Dans ce récit parfois cruel, où se mêlent haine, fanatisme, manipulations et vengeance, une saine émotion, parfois même la drôlerie et l’espoir sont toujours palpables.
Tout au long de ces presque vingt années, la vie des Montazini n’est jamais simple. Le sort, le mauvais, mais aussi le bon, semble se complaire à jouer avec eux. Malgré ses déboires, la famille tient bon le cap et fait face. La ferme de L’Arcange, dans laquelle elle se retrouvera peu de temps après son arrivée en France, joue un rôle essentiel. Cette maison, au nom mythique, sera l’occasion pour Michel ZORDAN d’ouvrir de multiples parenthèses pour remonter dans un passé souvent tumultueux. Le destin ne peut toutefois pas s’acharner une vie durant. Derrière les gros nuages, le soleil n’attend souvent qu’une occasion pour briller à nouveau.

Michel ZORDAN écrit les 5 premiers tomes de cette saga entre 2004 et 2005. En quelques mois les grandes lignes, plus de 1500 pages sont tracées. Pendant les trois années qui suivent, l’auteur laisse son histoire dormir dans un tiroir. Il ne la réveille que pour apporter quelques petites retouches, du relief comme il dit. Fin 2007, ses proches l’incitent à tenter l’expérience de l’édition.
Michel ZORDAN prévient le lecteur : cette narration n’est qu’une fiction. Toutes ressemblances avec des situations réelles ou des personnes existantes ou ayant existé ne seraient que pure coïncidence. Pourtant, en tournant les pages, on ne peut s’empêcher de penser que certaines scènes ne sont peut-être pas que le fruit de son imagination.
L’époque - L’auteur ancre son histoire dans une époque clé, troublée, mais fertile. Cette période d’entre deux guerres, n’est pas guère éloignée de nous, pourtant son histoire très riche nous semble déjà très lointaine. Le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne, la guerre civile en Espagne et une France qui se cherche. Une France qui recrute à l’étranger pour palier au manque de main d’œuvre dans les campagnes. Une France paysanne, dans laquelle une majorité des habitants vivent de la terre. Une France qui travaille souvent sept jours sur sept, qui ignore tout des mots loisir et chômage, mais qui apprend le mot vacances. Aujourd’hui, même si cette partie d’histoire date d’un autre millénaire, les témoins de cette époque sont toujours très nombreux, et leurs souvenirs toujours très présents. Ces témoins ont accompagnés tout ce qui fait la France d’aujourd’hui et, à l’image Des Exilés de L’Arcange, les déracinés de cette époque ont su mêler leur destin à celui des natifs.
Les lieux - Même s’il s’en échappe régulièrement, l’auteur situe son histoire dans le Sud-ouest de la France, qu’il connait bien. Le village de Floréal, le château Tourne Pique et la ferme mythique de L’Arcange sont omniprésents dans le décor planté par Michel ZORDAN. Si l’auteur ne désigne pas formellement les lieux réels d’où l’histoire se raconte, les quelques informations qu’il laisse transparaître ne laisse guère de place au doute. Elle se situe dans le Gers, en Ténarèze, au cœur d’une Gascogne paysanne, qu’il connait parfaitement. Une Gascogne qu’il décrit généreuse, terre d’asile, héritière d’une tradition d’accueil aussi profondément enracinée que les ceps de folle-blanche et riche d’une histoire plusieurs fois millénaire.
L’époque - L’auteur ancre son histoire dans une époque clé, troublée, mais fertile. Cette période d’entre deux guerres, n’est pas guère éloignée de nous, pourtant son histoire très riche nous semble déjà très lointaine. Le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne, la guerre civile en Espagne et une France qui se cherche. Une France qui recrute à l’étranger pour palier au manque de main d’œuvre dans les campagnes. Une France paysanne, dans laquelle une majorité des habitants vivent de la terre. Une France qui travaille souvent sept jours sur sept, qui ignore tout des mots loisir et chômage, mais qui apprend le mot vacances. Aujourd’hui, même si cette partie d’histoire date d’un autre millénaire, les témoins de cette époque sont toujours très nombreux, et leurs souvenirs toujours très présents. Ces témoins ont accompagnés tout ce qui fait la France d’aujourd’hui et, à l’image Des Exilés de L’Arcange, les déracinés de cette époque ont su mêler leur destin à celui des natifs.
Les lieux - Même s’il s’en échappe régulièrement, l’auteur situe son histoire dans le Sud-ouest de la France, qu’il connait bien. Le village de Floréal, le château Tourne Pique et la ferme mythique de L’Arcange sont omniprésents dans le décor planté par Michel ZORDAN. Si l’auteur ne désigne pas formellement les lieux réels d’où l’histoire se raconte, les quelques informations qu’il laisse transparaître ne laisse guère de place au doute. Elle se situe dans le Gers, en Ténarèze, au cœur d’une Gascogne paysanne, qu’il connait parfaitement. Une Gascogne qu’il décrit généreuse, terre d’asile, héritière d’une tradition d’accueil aussi profondément enracinée que les ceps de folle-blanche et riche d’une histoire plusieurs fois millénaire.
Le milieu – Pour l’auteur, le choix du milieu dans lequel l’histoire évoluerait ne s’est pas posé. Il lui à paru évident qu’il ne pouvait être que celui des paysans Gascons, pays de son enfance. Le point d’orgue étant la production d’armagnac, incontournable lorsque l’on parle de la Gascogne d’entre deux guerres. Sans y paraître Michel ZORDAN décrit des scènes champêtres, idylliques, mais bien réelles, dans lesquelles la solidarité est omniprésente. Même si ces scènes semblent aujourd’hui bien désuètes et surtout révolues, elles faisaient, il n’y a pas très longtemps, réellement partie de la vie des paysans Gascons.
Infos ouvrage " Les raisons de l’exil " 332 pages - Auteur, Michel ZORDAN - ISBN 978-2-9532863-0-4 - disponible - genre roman contemporain - Prix public 17€
La société d’édition 3Z, fondée en 1998, est spécialisée dans la communication et l’édition audiovisuelle. Dans un grand nombre de cas, les productions développées font référence à la région Sud-ouest. Lorsque Michel ZORDAN se décide enfin à éditer le tome 1, de la saga des Montazini, famille d’immigrés exilés en Gascogne, 3Z profite de l’opportunité pour s’essayer dans l’édition de romans.
Le libraire est le lien indispensable entre l’auteur et le lecteur Pour la distribution, 3Z-DANZOR s’appuie sur les librairies traditionnelles. La politique commerciale de l’éditeur s’articulera en priorité autour des professionnels du livre, dans le but de favoriser les rencontres entre auteur et lecteurs.