L'Aquitaine est traversée par les 3 voies principales menant à Saint Jacques de Compostelle. A travers les champs et les forêts, les montagnes et les déserts, ils mettent leurs pas dans ceux des anciens pour rettrouver un rythme, un sens. Ils reviennent transformés, renforcés, iluminés par la grace. Mais pourquoi se met-on à marcher pour Saint-Jacques de Compostelle? Comme chaque année, des milliers de marcheurs vont se lancer sur le Chemin piur rejoindre la vielle aux 46 églises, aux 114 clochers et au 288 autels. Depuis les débuts du pèlerinage, les pèlerins affluent de partout en Europe. En France, on dénombre 3 voies principales: voie de Tours, du Puy en Velay et de Vèzelay. En réalité il existe une kyrielle de voies secondaires.
Ils furent 183 166 en 2011. Ce pèlerinage est traditionnellement l’un des trois grands pèlerinages de la chrétienté avec Rome et Jérusalem. Son origine remonte au premier tiers du IXe siècle.
Pèlerin sort un nouveau hors-série Compostelle, l’appel du chemin, en partenariat avec RCF. 
L’édition 2012, mise à jour, est enrichie d’une carte Michelin inédite, spécialement conçue pour permettre aux pèlerins d’anticiper leur voyage.
Tout au long du périple, elle permet de suivre du doigt le tracé des voies, de repérer les étapes et de choisir les haltes grâce au carnet d’adresses. Elle indique des lieux remarquables, sélectionnés par la rédaction.
Après un rappel historique, ce hors-série propose les itinéraires en France : quatre voies historiques, reconnues « Grand Itinéraire culturel du Conseil de l’Europe » en 2004 : les voies du Puy-en-Velay, d’Arles, de Vézelay et de Tours.
Pèlerin invite le lecteur sur la voie de Rocamadour, variante de la voie du Puy. Les itinéraires en Espagne : passé la frontière, le pèlerin emprunte le Camino navarro ou aragonés avant de rejoindre la voie unique du Camino francés, et d’arriver aux portes de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Pour accompagner la sortie de ce hors-série, le magazine chrétien a retrouvé huit pèlerins à s’être lancés sur le chemin de Saint-Jacques entre les années 1940 et 1990.
« Nous étions considérés comme des hurluberlus ! » témoigne Dominique Paladilhe, 90 ans, qui a bouclé son sac à dos en 1948 pour se lancer seul sur le chemin de Compostelle… 
C’est à l’abbé Georges Bernès, parti en soutane en 1961, qu’on doit le premier véritable guide du chemin de Saint-Jacques, publié en… 1973. »
L’internaute est invité à explorer cette épopée de façon interactive. En cliquant sur les lobes d’une coquille Saint-Jacques, il accède à des vignettes animées conduisant à 27 vidéos différentes soit, au total, plus d’une heure de film.
Les pionniers ouvrent leur « sac à reliques », qui recèlent leurs souvenirs : un bourdon, un pain de Santiago, une calebasse, ou encore la précieuse compostela. On feuillette trois albums de photos inédits, tirés de leurs archives personnelles.
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Celui qui, comme tant d'autres, a éprouvé un jour l'envie de partir pour rallier la capitale de la Gallice le sait bien : le plus délicat n'est pas tant de se mettre en chemin, que de décider de le faire et d'en arrêter la date effective. Cela, chacun le sent plus ou moins confusément, car il ne s'agit pas seulement de marcher pendant des jours voire des semaines, mais de vivre également une expérience humaine dont la nature et l'ampleur se mesureront au regard de notre propre cheminement.
Mais le pèlerin n'est pas un pur esprit et il ne saurait s'affranchir des contraintes matérielles, sinon il apprendra vite que le petit détail n'est jamais sans importance : quand partir ? quel poids pour le sac ? comment gérer mes étapes... Certes, chacun peut avoir plus ou moins son idée sur la question, mais le plus sûr n'est-il pas de profiter de l'expérience de ceux qui reviennent du "camino" ?
Au Bouscat (33), l'Association des Amis de Saint Jacques de Compostelle en Aquitaine saura offrir à celui qui veut partir, des conseils toujours utiles et répondre aux questions qu'il peut se poser.
Les routes de Compostelle
Les routes de Compostelle en France, à la rencontre du patrimoine sur les voies de Tours et du Puy. Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d’entre eux s’y rendent à pied, on y compte ....Saint-Jacques de Compostelle de A à Z
Saint-Jacques-de-Compostelle de A à Z. En 26 entrées de A à Z, ce petit livre a pour objectif de dire l’essentiel sur les multiples facettes de Saint-Jacques-de-Compostelle, qu’elles soient anecdotiques, architecturales, historiques, pratiques, religieuses ou symboliques.
