Dans ces zones littorales, elles représentent en moyenne 22,5 % des logements et jusqu’à 50 % dans les zones plus touristiques.
Dédiées à une occupation non permanente, les résidences secondaires contribuent à la vitalité des territoires à certaines périodes de l’année par l’accueil de touristes et l’activité économique que leur présence induit. Elles peuvent cependant être aussi perçues comme une contrainte pesant sur la demande de logements, en particulier dans des zones de tension immobilière à proximité d’agglomérations.
Les résidences secondaires sont plus souvent transformées en résidences principales que l’inverse. Cependant, ces changements contribuent peu à la progression du parc de résidences principales dans les territoires les plus densément peuplés. Les propriétaires de résidences secondaires du littoral ont un revenu supérieur à ceux du reste de la région. Un sur deux vit en Nouvelle-Aquitaine et un sur cinq en Île-de-France.
Sur le littoral néo-aquitain, la question des résidences secondaires est prégnante : elles représentent 22,5 % du parc de logements du littoral (soit trois fois plus que dans le reste de la région).