Salut les artistes! Bilan d’un novart atypique qui a accueilli plus de 555 artistes et 32000 spectateurs. Dominique Ducassou, adjoint délégué à la culture à la Mairie de Bordeaux, a dressé le 2 décembre le bilan aprés l'édition 2008 de NOVART.Le festival devient biennal. Retour en 2010.Ils sont retournés en Argentine ou au Chili. Ils ont rejoint l’Espagne, le Portugal, la Grande-Bretagne, les USA… ou sont repartis au fil de saisons parfois plus sages. Comme des images, mouvantes du kaléidoscope d’un novart pluridisciplinaire, au moment du bilan les quelque 89 spectacles se superposent dans nos mémoires. 
En un mois, 555 artistes croisés par 32 000 spectateurs1… de l’étincelle de folie d’un Royal de Luxe inaugurant cette 7ème édition, Mira ! et ses 9660 spectateurs… jusqu’au Tour d’écrou qui clôt l’événement culturel sous les éloges unanimes de la presse internationale, 89 spectacles (pour 135 représentations) sont passés d’une affiche foisonnante, aux plateaux des scènes de Bordeaux et sa périphérie. 87,5 % des spectacles ont pleinement trouvé leur public, et si l’offre globale de places était inférieure à celle de l’an passé, cela est, en grande partie, dû au bon ajustement des jauges à l’esprit des spectacles –souvent intimistes- présentés en 2008. Autre tendance de cette édition privilégiant l’accompagnement oral des manifestations, de nombreux colloques et conférences ont permis aux artistes et organisateurs de repousser les limites du spectacle lui-même.
En un mois, 555 artistes croisés par 32 000 spectateurs1… de l’étincelle de folie d’un Royal de Luxe inaugurant cette 7ème édition, Mira ! et ses 9660 spectateurs… jusqu’au Tour d’écrou qui clôt l’événement culturel sous les éloges unanimes de la presse internationale, 89 spectacles (pour 135 représentations) sont passés d’une affiche foisonnante, aux plateaux des scènes de Bordeaux et sa périphérie. 87,5 % des spectacles ont pleinement trouvé leur public, et si l’offre globale de places était inférieure à celle de l’an passé, cela est, en grande partie, dû au bon ajustement des jauges à l’esprit des spectacles –souvent intimistes- présentés en 2008. Autre tendance de cette édition privilégiant l’accompagnement oral des manifestations, de nombreux colloques et conférences ont permis aux artistes et organisateurs de repousser les limites du spectacle lui-même.[1] spectacle vivant, hors expositions
Premières en France… et dans novart
Nouvel arrivant, Mira ! a rejoint novart avec l’extrémisme d’un sud toujours insolent et la reconnaissance d’un public qui en 10 jours de fleurs écarlates et d’effervescence créatrice ont (entre autres) célébré Galvan, Marin, Bory et la Première française de leurs spectacles. Première française également pour Shiny or Sky d’Adámek interprété par l’ONBA… première mise en scène lyrique signée en sa ville d’adoption par Dominique Pitoiset, à l’initiative de l’Opéra National de Bordeaux... « Inouïes » ce que Proxima Centauri a pu donner à entendre avec notamment 8 créations mondiales. Première toujours avec l’association réussie par le FRAC collection Aquitaine, de la gastronomie plastique, au design de porcelaine, aussi beau que fonctionnel. Quant au CAPC, il a fait –à grand renfort de concerts dont la nef a raisonné en nocturne, fait entrer le Psychédélisme au musée d’art contemporain…Discipline entrante, la BD, portée par la Rockschool Barbey a donné, avec Persépolis, une coloration aquitano-persane au dernier week end de cette édition, qui a vu Bordeaux porter un regard nouveau et musical sur ses racines africaines, via les Nuits de Bamako.
novart bordeaux, « sans ambiguïté » en 2010
Concluant le point presse bilan organisé en clôture de novart bordeaux, Dominique Ducassou (adjoint délégué à la culture) a précisé au nom de la Ville de Bordeaux, subventionneur de novart à hauteur de 63%, que «pour éviter une trop grande proximité entre novart et le nouvel événement culturel Bordeaux Evento créé en Octobre 2009, s’il est logique que novart bordeaux devienne biennal, et qu’il envisage d’évoluer, il n’y a aucune ambiguïté pour ce qui concerne son avenir… en 2010.»
Source : Canal Com / Noëlle Arnault & Aurélie Auger
