L'Esperanza navire de Greenpeace en escale à Bordeaux

..... le public à sa prochaine expédition sur le Récif de l’Amazone, un récif corallien méconnu situé à l’embouchure de l’Amazone au Brésil. Cet écosystème unique est aujourd’hui menacé par des projets pétroliers menés par Total et BP.

Gratuites et accessibles à tous, ces portes ouvertes sont une occasion unique de monter à bord du plus grand navire de la flotte arc-en-ciel de Greenpeace.  « Tout le monde est bienvenu à bord ! Ces portes ouvertes sont un moment de partage et de découverte qui permet de s’immerger dans le quotidien d’un grand navire », explique Edina Ifticène, chargée de campagne Océans à Greenpeace France.

A bord, les Bordelais-e-s seront accueillis-e-s par des membres de l’équipage et des militant-e-s du groupe local de Greenpeace Bordeaux. La visite d’une trentaine de minutes permettra de parcourir les différents espaces du bateau, de découvrir les coulisses de la vie à bord et d’en apprendre plus sur les grandes expéditions en mer de l’association dont celle qui se prépare sur le Récif de l’Amazone.

Ce projet peut compter sur le soutien de Lambert Wilson qui fait le déplacement jusqu’à Bordeaux ce vendredi pour rencontrer l’équipage de l’Esperanza. « Il est essentiel de sensibiliser à la préservation de trésors naturels comme celui du Récif de l’Amazone. En parallèle de l’expédition en mer, je vais bientôt avoir la chance de suivre une mission à terre, dans la mangrove brésilienne. L’objectif est d’aller à la rencontre des communautés qui dépendent des ressources fournies par la mangrove pour subvenir à leurs besoins », précise Lambert Wilson.

IMPORTANT : Pour des raisons d’agenda, Lambert Wilson ne sera pas présent à Bordeaux samedi et dimanche pendant les portes ouvertes de l'Esperanza.

L’Esperanza

L’Esperanza (“espoir” en espagnol) est le plus grand navire de la flotte de Greenpeace. Il mesure 72 mètres de long et a une vitesse maximale de 15 nœuds. Ce navire russe, construit en 1984, servait à l’origine à lutter contre les incendies. Ses principaux atouts sont sa vitesse et sa grande résistance aux aléas climatiques. C’est le premier navire de la flotte à avoir été baptisé par les sympathisant-e-s de Greenpeace.